Par Jean-Baptiste Robin
« Quels jalons Jean-Louis Florentz a-t-il posés dans l’évolution de la musique occidentale ? C’est une question complexe, et il serait présomptueux d’y répondre de manière définitive. Le temps seul pourra en juger.
Cependant, je pense que Florentz a ouvert la voie à un orgue qui explore de nouvelles sonorités harmoniques tout en renouvelant la virtuosité. Il a accordé une place essentielle aux jeux harmoniques, comme le jeu de Septième ou les harmoniques naturelles que l’on retrouve sur des orgues tels que ceux de Saint-Eustache ou, plus récemment, de Saint-Quentin. Il a également enrichi le répertoire avec des œuvres utilisant le sostenuto et des registrations parfois complexes. »
Retrouvez dans notre prochain numéro – ON67, décembre 2024 – l’article de Christophe Marchand consacré au grand compositeur à l’occasion des 20 ans de sa disparition, ainsi que des interview de Jean-Baptiste Robin et Jean-Charles Gandrille.